samedi 16 mars 2013

Koan zen

Le koan n’est pas un problème à résoudre dans un temps imparti. C’est une sorte d’énigme irrationnelle que l’on installe dans son esprit et que l’on va laisser mûrir jusqu’à l’apparition de l’évidence. Le raisonnement logique est banni ou très marginal ; il conduit à des lieux communs ou des impasses. Abordons les mots avec prudence, pensons plutôt à des associations d’idées ou des symboles.
Pour rester dans un registre connu, rappelons-nous les figures de rhétorique : métaphores, comparaisons et images.
Sortons des sentiers battus, laissons-nous porter par notre imagination et ne cherchons surtout pas à retrouver un équivalent à nos connaissances antérieures. Le koan doit engendrer l’éclosion spontanée d’une merveilleuse fleur inconnue.source :www.goshinbudokai.fr/koan2.html

Le soleil de midi ne fait pas d'ombre.

J’éteins la lumière ,ou va t elle ? 


Non anxieux ici, non anxieux toute la vie.


La courbe ne peut inclure la ligne droite.


Pour savoir si l'eau d'un bol est chaude ou froide , il faut y mettre le doigt...il ne sert a rien de discuter.


L'homme regarde le miroir, le miroir regarde l'homme.


L'obstacle est le chemin.

Ce qui te manques cherche le dans ce que tu as.

Les ignares se délectent du faux clinquant et de la nouveauté.les gens cultivés trouvent leur plaisir dans l'ordinaire.

La haine seule fait des choix.


L'homme regarde la fleur, la fleur sourit.


La voie est sous nos pieds.

Le bambou existe au dessus et en dessous de son nœud.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Messages les plus consultés